Haricot Princesse

Une terrasse-jardin à Bruxelles

Juin-juillet 2017

13 juillet 2017 —

Quelques nouvelles de la terrasse en ce début d’été.

À partir de juin, ça commence à être plus calme au niveau du travail de jardinage. (Pas étonnant, donc, que les photos qu’on vous présente datent généralement de cette période. Il faudra qu’on y remédie…)

Mais l’été est aussi moins riche en fleurs. Finis les bulbeuses de fin d’hiver et début printemps, les iris, lis, hémérocalles, lupin, clématite… Les glaïeuls, hibiscus, dahlias, etc., par contre, ne sont pas encore en fleurs.

Hémérocalle
Une des plantes qui étaient déjà présentes avant notre arrivée dans l’appartement.

De même, passé quelques petites récoltes (radis, petits pois, cima di rapa, framboises…), les suivantes vont devoir attendre.

Deux plants de courges dans un bac
L’un des deux est un semis spontané (venant peut-être du compost). Ses fleurs femelles semblent avorter. Si ça continue, on le supprimera, pour laisser plus de ressources à l’autre.
Une promesse de courge
Bientôt les premières tomates
Sur les autres plants, par contre, ce n’est pas aussi avancé…

Nous avons aussi mangé :

Des artichauts
Des groseilles à maquereaux

et des plantes dont on peut prélever des morceaux petit à petit : rhubarbe, tétragone, pourpier d’été, etc.

Après la visite d’un jardin, Princesse a commencé à revoir le paillage de certains bacs en s’inspirant du principe des lasagnes (non, pas celles-là).

Des bacs du potager avec un nouveau paillage

Dans notre poursuite de laisser tomber au maximum les petits contenants (demandent trop d’arrosage, se reversent avec le vent, prennent de la place pour pas grand-chose) au profit de plus grands, nous avons créé un bac à aromatiques près de la cuisine. Pour l’instant : persil plat, aneth, basilics italien et thaï, coriandre et mitsuba (persil japonais). D’autres restent seules dans leur pot : le thym (ses racines émettent un poison qui empêche les plantes concurrentes de pousser), le romarin et le laurier (qui sont bien grands, maintenant), l’estragon et la ciboulette (qui envahiraient tout le bac).

Bac à aromatiques
Oui, ça devient un peu la jungle…

Pour protéger certaines plantes des ramiers, nous avons mis un grillage sur notre châssis froid, mais avec des mailles assez grandes pour laisser passer les pollinisateurs.

Le châssis froid protégé des oiseaux
Avec des laitues à couper sauvées et mises à l’abri, des semis spontanés de cima di rapa, un chou de récup’ et des semis (tardifs) de fenouil.

Cette année, lors de beaux jours, moins d’insectes virevoltent dans les airs que les autres années mais ça ne nous empêche pas de faire des découvertes dont :

Un criquet
Nouveau venu sur notre terrasse
Un bourdon butinant un muflier
Les bourdons s’en sortent généralement mieux que les abeilles pour entrer dans les fleurs et en sortir.
Ici, une espèce de bourdon (laquelle ??) que nous voyons plus rarement que d’autres.

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