Mis en place dans un verger préexistant, son jardin fait 2 500 m2.
Comme nous, la jardinière est autodidacte, prend le temps d’observer et fait ses propres expériences.
- Vue partielle du jardin
Comme elle le dit elle-même :
Dans mon jardin, il n’y a pas de « ravageurs », ni de « nuisibles » à « exterminer », « tuer », « éradiquer », ou à « combattre », ni de « mauvaises herbes » à « éliminer ». Ces pratiques socialement acceptables, culturellement admises, et souvent issues de croyances populaires, ne sont pas de mise chez moi.
Parfois, il suffit d’attendre. Ainsi, ses fèves, qui étaient envahies de pucerons, se portent désormais très bien.
Elle pratique notamment la culture en buttes en y « compostant » directement les matières végétales du jardin, par exemple les pommes tombées. Le « travail » de la terre est laissé aux lombrics, mulots et taupes. (Parfois, une taupe vient même l’aider à faire une butte.)
- Une butte
Très belle journée, riche en échanges d’idées (que Princesse a déjà commencé à mettre en pratique) et en échanges… de plantes et graines, que nous avons déjà installées chez nous.